mardi 2 octobre 2007

Dans le local du Bureau des Arts...



...il y a « le bar », c'est à dire ce qui sert de table de réception, qui disparaît sous les flyers, et sous les bulletins d'adhésion. On y trouve aussi des médiators trop fashion à offrir aux newbees (ie moi), parce qu'il ne reste plus de badges bariolés en stock.

...il y a les macs, sur lesquels on se débrouille tant bien que mal quand le wifi n'arrive pas jusqu'à mon pc, il y a le cahier de sourcing que je perds et retrouve sans arrêt, il y a plein de papiers, de noms, de notes, qui traînent, traînent, traînent, du courier à ouvrir, des affiches à coller, des programmes à imprimer/classer, des recommendations à lire, et à assimilier

...il y a les bouilloires, très important ça, les bouilloires ! Plein de thé des écrivains, aussi. Et des canapés moelleux. Ya même des prises, chose quasiment introuvable à Sciences Po, où j'ai pu recharger mon pc

...il y a les autres membres actifs du BdA, qui passent en coup de vent, ou qui font leurs deux heures de permanence, voire plus, qui t'expliquent gentiment tout (ou pas), et qui ont déjà l'air pas mal occupés

...il y a des gens, plein de gens, qui viennent savoir s'il reste des places en photo/dessin/théâtre, qui viennent proposer des idées, qui veulent savoir ce que c'est que le bda, et aussi qui sont complètement paumés (« vous avez pas une feuille blanche ? » ou encore « c'est où la direction stratégique ? » pardon ? Ya pas marqué « loge des appariteurs », ici)

...Bref, il y a plein, mais alors, plein de choses, qui laissent augurer de nombreux projets auxquels participer...



et le superbe ouèbesaïte du Bda c'est

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