lundi 8 octobre 2007

La nuit blanche


Retrouver les plaisirs simples, profiter des meilleurs amis, des meilleurs moments, ne pas se poser de questions, et puis ne pas avoir peur du ridicule.


Après le match, direction la place Colette, et petit arrêt en route devant le Louvre. Là, il y avait le Triptych des United Visual Artists, à l'occasion de la nuit blanche. C'était trois grands écrans lumineux qui, parait-il (selon ce que je lis en ce moment même), "réagissent au mouvement dès que le publique s'approche".


Sauf que le public était limité, et qu'il fallait faire la queue, et que tout le reste regardait avec amusement les quatres débiles autorisés à se déhancher devant les panneaux lumineux au rythme irrégulier d'une sorte de techno inconnue.


Ni une ni deux, Chloé and myself, sous le regard encourageant (comprenez moqueur) de Jb, nous sommes jetées sur la piste pour tenter mouvements classiques et rock'n'rolls frénétiques. Ca méritait le coup d'oeil. Il y a même une vidéo classée top secrète qui, en tant que telle, est donc interdite à la diffusion.


Bref, après un petit tour pour écouter un slam douteux devant la Comédie Française, direction les Tuileries, bondées de monde aux parapluies blancs promo nuit blanche 2007 récupérés, apparemment, au pavillon de l'Arsenal (ouaaaaaaaah j'en veux un !!!).


C'est là qu'on s'est séparés, concluant que cette année, pour la nuit blanche, on avait assez donné, et pour ma part la soirée s'est très bien finie - à deux, à écouter du jazz dans un petit bar restaurant de Saint Germain des Prés...

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